Pour la sortie au format
A4 de mes affiches "Archis de Casa", j'ai préparé un tiré-à-part
regroupant toutes les illustrations que j'ai réalisées en hommage aux
architectes casablancais.
Signées et numérotées, on les trouve exclusivement à la librairie Carrefour des Livres à Casablanca.
➜Automobile • ➜Faits divers • ➜Fées & Dragons • ➜Matières • ➜Humour et frivolités • ➜Voyages
Cliquez sur les images pour bénéficier d'une vue agrandie.
Livraison sur Casablanca (Maroc). Paiement à réception.
Et maintenant en format A4
Deux nouvelles affiches pour la série "Archis de Casa"
Nouveautés : Le Liberté "17 étages" et le Twin Center.
Huit affiches affiches au style marqué pour rendre hommage à la ville de Casablanca et aux architectes qui lui ont conféré de cachet unique. D'un dessin épuré, les marqueurs du paysage casablancais, imprimés sur des papiers mettant en valeur les subtilités des couleurs se montre sous un jour idéal.
Des compositions inspirées de mes pérégrinations dans le centre historique de Casablanca, avec le Croquis Club de Casa ou muni d'un appareil photo au cours desquelles j'ai collecté une abondante documentation.
D'autres illustrations sont au programme…
Les prochaines publications du projet "Archis de Casa" seront annoncées sur Instagram
L'immeuble Liberté (aussi connu sous le nom "le 17 étages" ) de l'architecte Léonard_Morandi pénètre dans la ville comme un paquebot à la voile creusée par le vent de terre. Symbole fort de Casablanca il est sans contexte l'immeuble préféré des habitants. Premier gratte ciel d'Afrique il en a logiquement été le plus haut bâtiment en son temps.. 👉 Voir sur la carte A3 (29,7 × 42 marges incluses) Tirage numérique sur papier Aquarello 300g : 450 DH Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 520 DH 70 × 50 cm (marges incluses) Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 910 DH |
Finalement réalisées en 1998 —après d'interminables et calamiteux chantiers— par Ricardo Bofill,
les deux tours du Twin Center dominent Casablanca, en défendant l'accès
au quartier du Maârif. Malgré les emprunts à l'architecture
arabo-berbère, le massif bâtiment n'a jamais vraiment rencontré l'amour
des casablancais, et le centre commercial qu'il surplombe agonise dans
une atmosphère sinistre de couloirs sombres hantés par des vigiles… Le rythme de la résille complexe des façades, côté Maârif est une remarquable variation autour de carrés multiples, et les différents revêtements satinés brillent discrètement dans la lumière qui ricoche entre les tours. 👉 Voir sur la carte A3 (29,7 × 42 marges incluses) Tirage numérique sur papier Aquarello 300g : 450 DH Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 520 DH 70 × 50 cm (marges incluses) Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 910 DH |
L'église du Sacré-Cœur (en arabe : كاتدرائية القلب المقدس ) n'a jamais vraiment été une cathédrale, construite à partir de 1930 par l'architecte Paul Tournon auquel on doit d'autres églises, dont St Honoré à Amiens que je connais bien. Dans l'après midi, la lumière crue se perd en réflexions blanches, diffractée par les arcs-boutants. 👉 Voir sur la carte A3 (29,7 × 42 marges incluses) Tirage numérique sur papier Aquarello 300g : 450 DH Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 520 DH 70 × 50 cm (marges incluses) Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 910 DH |
Villa les Tourelles. Boyer 1930
Les villas jumelles, connues sous le nom de villa des Tourelles, œuvre de Marius Boyer subissent les outrages du temps depuis 1930. Sa dernière incarnation en musée, avec à l'étage un snack qui proposait une des plus belles vues était pourtant porteuse de promesses… 👉 Voir sur la carte A3 (29,7 × 42 marges incluses) Tirage numérique sur papier Aquarello 300g : 450 DH Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 520 DH 70 × 50 cm (marges incluses) Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 910 DH |
Assayag. Boyer 1932
Derrière le Marché Central, l'immeuble Assayag domine la placette de sa masse de Gotham blanc. Œuvre de Marius Boyer livré en 1932, il est traversé par un esprit phalanstérien en vogue au début du XXe siècle qui s'exprime par une volonté de brassage social et de nombreuses parties communes. Sur la photo d'illustration, la date est erronée –1934 en place de 1932– l'erreur sera corrigée sur les prochains tirages. 👉 Voir sur la carte |
Je
ne sais pas grand chose du royal garage. Signé Anicet et Perrin. Dans
la petite rue de Karachi, sa façade de poste de radio géant fait
curieusement écho au bâtiment de la maison Philips, non loin de là, et
signé Renaudin. Une esthétique évocatrice de BD post-moderne 80's 👉 Voir sur la carte A3 (29,7 × 42 marges incluses) Tirage numérique sur papier Aquarello 300g : 450 DH Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 520 DH |
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La réserve. Renaudin 1933
Le
restaurant la réserve, vu de la corniche, tel qu'il apparaissait depuis
1933, avant qu'un snack balnéaire à l'esthétique de préfabriqué ne
masque sa flèche volontaire. La facade maritime, cylindre sur pilotis reste spectaculaire. Signé Renaudin. 👉 Voir sur la carte A3 (29,7 × 42 marges incluses) Tirage numérique sur papier Aquarello 300g : 450 DH Tirage haute résolution sur papier photo satiné : 520 DH |